Personne ne peut dire avec certitude ce qui se serait passé, mais cela nous pousse à la réflexion.

Nous ne serions pas en 2018 et nous sommes bientôt en 2019 après Jésus-Christ.

On ne fêterait pas Noël, ni Pâques ni l’Ascension, ni Pentecôte. Toutes nos fêtes sont reliées à l’histoire du Christ, à ce que nous trouvons dans la Bible. C’est vrai que bien souvent nous pensons plus à notre congé prolongé que je vais avoir, qu’à la signification de ce congé.

Les musées seraient à moitié vides, la peinture de Rembrandt, de Chagal, la sculpture de Michel-Ange n’existeraient pas sous cette forme. Combien de fois les textes de la bible sont repris par des peintres. Et depuis toujours.

La musique serait bien orpheline sans la passion de Bach, le Messie de Haendel, le Gospel, mais aussi le blues, le jazz.

Si Jésus n’avait pas existéSi Jésus n’avait pas existéSi Jésus n’avait pas existé
La culture serait décapitée, enlever de la littérature de toutes les œuvres que Jésus a inspirée, est impossible, il en est de même pour le théâtre, le cinéma, la philosophie.

La société serait désorganisée, plus de Croix-Rouge, plus d’Armée du Salut, plus de compagnon d’Emmaüs, plus de scoutisme.

Le monde serait amputé, si on supprimait Mère Teresa, Sœur Emmanuelle, Martin Luther et Denis Mukwege.

Et pour aujourd’hui, si le Christ a exercé, une influence considérable sur les divers points que j’ai énumérés, il y a un plus pour moi, car il fait partie intégrante de mon vécu de chaque jour !

Un joyeux Noël

ps : Pour MS, afin d’alimenter nos discussions

Sur une idée de Georges Mary, José Loncke, Croire et vivre décembre 18